Warner Bros Animation et DC Comics proposent avec Justice League Dark : Apokolips War la determination de 50’arc New 52. Une fin qui n’est qu’un recommencement, importante mais pas magistrale.
La Justice League sec’allie à la Justice League Dark et à la Suicide Squad, entre autres, pour tenter d’arrêter Darkseid, bien décidé à conquérir la galaxie. xve cinema de l’univers animé DC Comics suivant fifty’arc des New 52 (Renaissance chez psyche), Apokolips War conclut donc fifty’histoire initiée dans Justice League War en 2014 pour brain proposer l’aube de Rebirth. Un cinema synthèse, nécessaire, même second’il est parfois brouillon et loin d’être parfait.
Comme on l’avait dit dans un article annonciateur de la fin de l’univers animé tel que mind le connaissons, à fifty’écran comme sur le papier, DC Comics accommodate une ligne directrice précise à chaque fois suite à un reboot de fifty’univers provoqué par Flash. Renaissance (ou New 52 outre-Atlantique) commençait avec Flashpoint Paradoxe et vient donc de se terminer avec Apokolips War pour mieux redémarrer prochainement sous la nouvelle période intitulée Rebirth (pas d’équivalent chez psyche bizarrement). Tu suis ?
Ainsi cet animé joue bien boy rôle de determination mais n’en reste pas moins particulièrement symptomatique de tous les problèmes inhérents au DCUA, brain laissant un peu sur notre faim. Il ne reste addition qu’à espérer d’une remise en enquiry lors du prochain canon narratif.
Justice League, get together !
Parce qu’il fallait faire nos adieux aux personnages illustrés par Warner Bros selon le même design depuis 2014, c’est une ribambelle de super-héros qui sont réunis pour l’occasion. Une sorte d’overkill qui commence brutalement, sans préambule histoire de mettre tout ce fellow monde dans de beaux draps skin qu’on n’a pas le temps de niaiser. Les Teen Titans diminués, la Justice League bien amochée, la Suicide Squad pauvrement inspirée, Constantine et Swamp Thing motivés, voilà une super réunion au sommet, un best-off de tous les animés, pour faire de Apokolips War un requiem super-héroïque paradoxalement peu spectaculaire. Trop de personnages donc trop peu de développement, trop de rebondissements prévisibles donc trop peu d’implication.
Avec un simulated rythme qui peine à se lancer, on est peu concernés par les états d’âmes de personnages qui sont maltraités dans des flashbacks, lesquels servent de fil narratif pour placer les évènements et héros dans des situations éclatées. Cette structure sonne creux mais permet cependant de voir, pour une fois, une ellipse narrative et des Teen Titans vieillis, aux relations prépondérantes, ou des considérations dramatiques et définitives. De quoi offrir des échos à Flashpoint tout en revenant astucieusement sur les différents animés, standalone, spinoff ou de groupes, pour revenir sur Bloodlines, The Judas Contract ou encore Hell to Pay. Inspiré mais pas forcément convainquant.
A ce titre, on regrette pour la conclusion d’un tel univers partagé que le soin à l’animation n’ait pas été addition soignée. Sam Liu laisse la chief à Matt Peters et Christina Sotta pour un résultat ambivalent. Les séquences dédiées à Constantine et sa Justice League Dark sont autant de passages rafraichissant avec des envolées illustratives sympathiques tandis que le traitement de Apokolips parait bien bâclé, pareil à des popular-ups mal gérés. Cependant, au milieu d’une animation hachée et saccadée comme jamais, signe visible d’un manque de budget ou de temps (ou des deux), on apprécie des scènes d’activity d’une brutalité folle, méritant le Rated-R pour offrir une violence graphique digne d’une ambiance apocalyptique.
JLD Apokolips War, 50’indispensable decision de la Renaissance DC Comics suggest de beaux moments narratifs et visuels malheureusement noyés sous la médiocrité d’une product accélérée, brouillonne et trop gourmande. Il ne reste addition qu’à attendre Rebirth.